En attendant la marée haute, une sirène sirote un domaine de la Cendrillon au Garde robe.
Un sens exacerbé et quasi maladif de la littérature !
Le Bahut va craquer 1981
Cet homme est dangereux. C’est un voyou cryptocommuniste.
Un dirigeant qui demande son avis au peuple et pense que la démocratie ne s’arrête pas où commence le capitalisme, terrifiant !
Les gentils médias bien pensant et les socio-démocrates invertébrés ne s’y sont pas trompés.
QU’ ON LE PENDE ! (et de préférence à un croc de boucher)
On ne pouvait pas nier au groupe « Il était une fois » un vrai talent pour faire des tubes qui collaient à leur époque, même si parfois c’était justement franchement pégueux. Après tout, c’est quand même à eux qu’on doit la fameuse envolée lyrique sur les draps qui s’en souviennent.
Quant à Joëlle Mogensen, chanteuse du groupe et probablement la véritable star ultime de la variétoche française des années 70, elle savait se sortir à son avantage de toutes les situations, même des plus toutes pourries.
Démonstration culte avec ce direct de midi première ou elle est affublée d’un accoutrement infâme et propulsée avec ses acolytes dans un décor qui fait penser à un concours de l’eurovision en Lettonie dans les années 70. Bref…du bon vieux tout pourri bien de chez Danièle.
Et malgré cet environnement particulièrement hostile, Joëlle nous sort un « viens faire un tour sous la pluie » plus qu’honorable avec un sourire ultrabright, en arrivant à ne pas faire pétasse et sans oublier de déclencher son fameux « woooouuuu, viens faire… »
Trop classe Joëlle !
Le sport le plus populaire au monde et son organisation internationale sont à l’image de la mondialisation actuelle. Un trou noir qui ne fait que dépouiller les populations les plus pauvres et régurgiter de l’argent sale au plus grand profit de parasites qui sous prétexte de présider au devenir du foot international, se sont progressivement organisés en syndicat du crime.
Le processus crève les yeux depuis longtemps et comme dans toute logique mafieuse, il est organisé sur l’adhésion ancienne et totale de ceux qui à chaque échelon croquent une part du gâteau (sponsors, gouvernements, élus, banques, clubs pro, médias…). La présente chronique s’intéresse aux parcours des affiliés et affranchis les plus notables de cette firme du football international en pleine divagation.
Une voix, une gueule,…A suivre
Au début des années 80 tout le monde n’était pas Charlie, c’est le moins qu’on puisse dire. L’hebdomadaire est à l’époque dirigé par Cavanna et Choron qui sont dans la transgression permanente et n’attirent pas le bobo de droite comme de gauche. Le nombre d’abonnés devient trop faible et le journal ne bénéficie d’aucune recette publicitaire. Tant est si bien qu’à la fin 1981 il doit s’arrêter.
Début 1982, Michel Polac qui depuis l’arrivée de la gauche au pouvoir pratique une autre forme de transgression dans son émission Droit de réponse, invite l’équipe de la rédaction de Charlie mais aussi le rédacteur en chef de Minute, Gainsbourg, Renaud ou encore Jean François Kahn. Fumée et alcool à gogo sont aussi de la partie. Le cocktail s’avère explosif. Tout ce joli monde va foutre le waï et se foutre sur la gueule.
Et oui, ça décoiffé le premier Charlie,